compteur

vendredi 13 juin 2025

Série de "suicides" dans le renseignement...

Au moins pour le dernier, les proches ne croient pas à la version du "suicide"...

Les trois premiers sont des agents de la DGSI décédés les 21 et 23 janvier 2025, et le 2 juin 2025, les deux derniers dans des conditions identiques.

Deux tirs groupés...

Le tout premier tombe pile poil en même temps que le premier acte de nouvelles exactions graves dont je suis victime cette année, toujours de la part des mêmes... 

Et le second survient alors que depuis le début du mois je reçois des avertissements assez importants et un peu désordonnés par rapport à ce qu'ils sont habituellement... 

Un ancien officier du renseignement toujours très actif et qui tout d'un coup se suiciderait, cela reste difficile à croire...

Cela me rappelle mon arrivée sur le projet classé de l'Armée de l'Air qui fut pour moi à très haut risque en 1993 et surtout 1994 (plusieurs tentatives d'assassinat, quand même) : mon prédécesseur s'était lui aussi "suicidé" par arme à feu environ un an plus tôt, officiellement en raison d'une rupture qu'il n'aurait pas supportée, et son poste était resté vacant tout depuis, personne n'en voulait... et bien entendu, je n'avais pas été prévenue plus tôt de ce petit détail... or, les ingénieurs sont des gens particulièrement costauds, c'est même incroyable tout ce qu'ils peuvent encaisser sans broncher, moi par exemple... 

 

Lire ou relire :

https://satanistique.blogspot.com/2025/06/jattends-lattentat.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/06/attentats-islamistes-des-avertissements.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/06/deux-jours-de-heurts-entre-police-de.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/06/deux-attaques-meurtrieres-dans-des.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/06/crash-dun-boeing-787-en-inde-un.html

 

https://lemediaen442.fr/lancien-officier-du-renseignement-eric-denece-est-decede-ses-proches-ne-croient-pas-a-la-these-du-suicide/

Actualités nationales

L’ancien officier du renseignement, Éric Denécé, est décédé. Ses proches ne croient pas à la thèse du suicide

Éric Denécé, ancien officier du renseignement et analyste géopolitique réputé, a été retrouvé mort. Officiellement un suicide… mais ses proches n’y croient pas. Une voix libre s’éteint. Un avertissement ?

mise à jour le 13/06/25

Le 11 juin 2025, Éric Denécé, ancien officier du renseignement et directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R), a été retrouvé mort à l’âge de 62 ans. L’annonce, relayée par Ligne Droite • La matinale de RC sur X, a secoué les milieux de l’analyse géopolitique. La piste du suicide, évoquée dans un premier temps, ne convainc pas les proches de cet expert reconnu, alimentant les soupçons dans un contexte marqué par des décès inexpliqués et une répression croissante des voix dissidentes en France.

Un parcours au service de l’analyse indépendante

Éric Denécé était une figure incontournable du renseignement et de l’intelligence économique. Docteur en science politique, il a débuté comme officier-analyste au Secrétariat Général de la Défense Nationale (SGDN), avant d’occuper des postes variés : ingénieur commercial chez Matra Défense, consultant pour le ministère de la Défense sur les forces spéciales, ou encore opérationnel au Cambodge et en Birmanie pour protéger les intérêts de Total. Fondateur du CF2R en 2000, il a transformé ce think tank en un espace d’analyse libre, scrutant le renseignement, le terrorisme et la guerre économique, notamment celle menée par les États-Unis contre la France.

Auteur d’ouvrages percutants, comme Les services secrets israéliens : Aman, Mossad et Shin Beth, Denécé n’hésitait pas à explorer des sujets sensibles. Sa dernière chronique pour Tocsin, intitulée « Attaque ukrainienne, Israël/Iran », reflétait ses positions souvent pro-russes, dans un climat géopolitique tendu. Lauréat du Prix 1996 de la Fondation pour les Études de Défense et du Prix Akropolis 2009, il incarnait une rigueur intellectuelle qui dérangeait les cercles du pouvoir.

Une liberté de parole sans compromis

Éric Denécé se distinguait par sa liberté de ton. Capable de s’exprimer sans filtre, il intervenait régulièrement au micro de Tocsin, aux côtés de figures comme Youssef Hindi, Rachid Achachi ou Idriss Aberkane. Sa pensée, affranchie des clivages partisans, était également relayée par des médias alternatifs. Nous, au Média en 4-4-2, avons publié plusieurs de ses interventions, saluant son ouverture d’esprit. Loin des querelles stériles, Denécé incarnait un modèle d’analyse transcendant les divisions, un exemple à suivre pour une dissidence qui doit aujourd’hui se souder pour survivre.

Hommages d’une dissidence endeuillée

Depuis l’annonce de sa mort, de nombreuses personnalités et médias rendent hommage à Éric Denécé. Nicolas Dupont-Aignan, Florian Philippot, Philippe Murer, Caroline Galactéros et Laurent Ozon ont exprimé leur respect pour cet homme dont les analyses éclairaient les enjeux géopolitiques. Ces voix, souvent marginalisées, reconnaissent en Denécé un esprit libre, capable de défier les narratifs dominants avec courage. Ces hommages témoignent de l’impact de son travail et de l’urgence de protéger ceux qui, comme lui, osent parler.

Une vague de répression contre les dissidents

La mort d’Éric Denécé s’inscrit dans un climat inquiétant. En cinq mois, trois agents de la DGSI sont décédés dans des circonstances troubles. Parallèlement, les figures de la dissidence font face à une pression accrue : convocations de Youssef Hindi par le GLAT, perquisition musclée du RAID chez l’écrivain Pierre Jovanovic, traque d’Alain Soral, fermeture de comptes bancaires chez TV Libertés et arrestations multiples dans les milieux critiques. Ces événements convergent vers une réalité alarmante : sous le régime macroniste, les voix qui contestent le discours officiel sont en danger.

Les services secrets, qu’ils soient français ou étrangers, semblent intensifier leurs efforts pour neutraliser les personnalités influentes. Intimidations, perquisitions et convocations visent à instaurer un climat de peur. La disparition d’Éric Denécé, expert des arcanes du renseignement, soulève une question cruciale : son décès est-il lié à ses analyses ? Sans réponse claire, les doutes s’amplifient et renforcent l’idée que la dissidence est ciblée.

La dissidence en danger, l’urgence de l’unité

Éric Denécé incarnait une voix qui refusait de se taire. Enseignant à l’ENA, à l’École de Guerre et dans plusieurs universités, il dirigeait le CF2R aux côtés de Daniel Martin et Claude de Langle, tout en partageant ses analyses avec un public diversifié. Sa mort rappelle que la dissidence n’est pas un jeu : c’est un engagement à haut risque, où les conséquences peuvent être fatales. Les intellectuels, journalistes et analystes qui s’écartent du récit dominant sont dans le viseur, et cette chasse aux voix libres cherche à étouffer toute critique.

Pourtant, face à cette répression, la dissidence doit se souder. Les querelles internes affaiblissent un mouvement qui, plus que jamais, a besoin de cohésion. Chaque voix compte, et chaque personnalité peut protéger l’autre en ces temps troubles. L’exemple d’Éric Denécé, avec son ouverture d’esprit et son refus du sectarisme, doit inspirer un front uni pour défendre la liberté d’expression.

Une exigence de vérité

Face à ce décès, une enquête transparente et rigoureuse est impérative. Les doutes des proches d’Éric Denécé ne peuvent être balayés, surtout dans un contexte où la confiance envers les institutions s’effrite. Les Français ont le droit de savoir si cette mort est un tragique hasard ou le résultat d’une logique plus sombre.

Le CF2R, porté par l’héritage de Denécé, poursuivra sans doute son travail. Mais sa perte est un signal clair : les personnalités dissidentes sont vulnérables, et la vigilance est cruciale. Nos condoléances vont à sa famille et à ses collaborateurs. Son engagement pour une pensée libre doit galvaniser ceux qui refusent de se taire.


https://actu17.fr/faits-divers/un-policier-de-la-dgsi-se-suicide-dans-le-parking-de-son-service-a-levallois-perret.html

Un policier de la DGSI se suicide dans le parking de son service à Levallois-Perret

 
Un policier affecté à la DGSI s'est suicidé lundi après-midi dans le parking de son service à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), en utilisant une arme de service. Le fonctionnaire a laissé une lettre à son domicile. Il s'agit du dixième suicide dans les rangs de la police nationale depuis le début de l'année. 
 
Un policier de la DGSI se suicide dans le parking de son service à Levallois-Perret
Illustration. (Alexandre Marchi / PhotoPQR / Maxppp)

Par Stéphane Cazaux
Le mardi 3 juin 2025 à 10:21

Un policier affecté à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a été retrouvé mort dans le parking de son service ce lundi après-midi, a appris Actu17 de sources policières. Il s'est suicidé en utilisant une arme de service.

Le drame s'est déroulé au siège de la DGSI, rue de Villiers à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Le policier a été retrouvé sans vie dans un véhicule de service, dans le parking situé en sous-sol. "Il était déjà décédé et il n'y avait malheureusement plus rien à faire", précise l'une des sources. "La compagne du fonctionnaire a indiqué avoir découvert une lettre à leur domicile, où il évoque son intention de mettre fin à ses jours".

Il s'agit du dixième suicide dans les rangs des policiers nationaux depuis le début de l'année, selon le suivi réalisé par Actu17. Le mois dernier, un policier de 52 ans affecté au commissariat de Nice (Alpes-Maritimes) s'est donné la mort.

La DGSI avait déjà été touchée par deux suicides en janvier dernier, en l'espace de 48 heures.



Deux policiers de la DGSI se suicident en l'espace de 48 heures

 
Drame à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) cette semaine. Deux policiers ont mis fin à leur jour en utilisant leur arme de service, ce mardi et ce jeudi matin. 
 
Deux policiers de la DGSI se suicident en l'espace de 48 heures
Le siège de la DGSI à Levallois-Perret. (Ip3 Press/Maxppp)

Par Stéphane Cazaux
Le jeudi 23 janvier 2025 à 15:33

Un policier affecté à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a mis fin à ses jours ce jeudi matin, en utilisant son arme de service, sur le parking de son lieu de travail, rue de Villiers à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Les secours sont rapidement arrivés sur place mais il était déjà trop tard pour sauver ce fonctionnaire. Le drame, dont les circonstances ne sont pas connues, s'est produit peu avant 9 heures.

Une enquête a été ouverte "en recherche des causes de la mort, confiée à l'IGSI (Inspection générale de la sécurité intérieure, ndlr), afin de préciser les circonstances de ce décès", a indiqué le parquet de Nanterre.

Le décès de ce policier survient après celui d'un autre agent de la DGSI, qui a lui aussi mis fin à ses jours ce mardi avec son arme de service, dans un appartement à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), a appris Actu17. Le drame s'est déroulé sur fond d'une rupture, précise une source proche de l'affaire. Une enquête a également été ouverte afin d'éclaircir les circonstances du drame.

Trois suicides depuis le début de l'année au sein de la police nationale

Il s'agit du second et du troisième suicide dans les rangs de la police nationale depuis le début de l'année, après la mort d'un policier de la brigade anticriminalité (BAC) de Saint-Quentin (Aisne). En 2024, au moins 16 policiers nationaux ont mis fin à leurs jours, selon le suivi réalisé par Actu17.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire